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vendredi 21 octobre 2011

Interview de Remy Godefroy

Dans ce premier numéro, deux interviews spéciales ! Remy godefroy , élève de notre collège qui a eu la chance de participer au tournage d’un film et Mme Merlier, notre chère prof d’éducation sportive fraîchement retraitée.

Commençons tout d’abord par le cinéma.. Nous avons la chance d’avoir avec nous un élève du collège, Rémy-Godefroy ,qui a eu la chance de participer au tournage de La nouvelle guerre des boutons de Christophe Barratier. Nous allons lui poser quelques questions :
 
-     Comment t’es-tu retrouvé sur le tournage du film ?
      Sur RTL, Christophe Barratier a passé une annonce pour trouver son Petitgibus et son Lebrac.
 -     Comment s’est passé le casting ?
      Cela se passe en trois phases. Premièrement, on envoie une photo. Deuxièmement, on  dit un texte. Ensuite, on passe devant le réalisateur et on dit le texte d’une scène du  film.
Où et quand a été tourné le film ?
       Il a été tourné en Auvergne et dans le Cantal en mai 2011 et a fini en août 2011. Il a duré 3 mois. J’ai tourné deux jours.
-     Est-ce vous vous êtes amusés en tournant ce film ? Pourquoi ?
       Oui, je me suis amusé car c’était une belle expérience. Mimer, parler, tourner en pleine nature, c’est rigolo et en plus, je me suis fait plein de copains. Cependant, je n’ai pas envie de devenir acteur.
Quelle scène as-tu tournée dans ce film ?
       J’ai tourné la scène des flèches de feu.
Qui est Petitgibus ?
       C’est mon petit frère dans la vie qui a eu la chance d’être un des acteurs principaux du film. Il espère jouer encore dans un film.
Quel est l’inconvénient d’être figurant par rapport à un acteur principal ?
        Les figurants ne sont pas chouchoutés alors que les acteurs principaux le sont. Le travail est aussi plus fatiguant.
Que penses-tu des autres versions de la guerre des boutons ?
        La version d’Yves Robert (l’originale) est en noir et blanc et elle est différente des autres.
       La nouvelle version est différente car c’est en couleur et le texte a changé également.
       Il était par exemple interdit de dire : « si j’aurais su, j’aurais pas venu ».
       Comme le film est sorti 15 jours avant, nous avons craint que le public ne soit pas au  rendez-vous mais des reporters du film se sont glissés dans une salle de cinéma pleine et ont constaté que les gens ont applaudi à la fin. Le film a aussi bénéficié de la pub de l’ autre version.

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