énormément : Christian Jacq.
Christian Jacq est un auteur qui écrit
des romans sur l'Égypte. Il évoque aussi la Grèce dans son roman
«La vengeance des dieux» (composé de deux tomes). Christian Jacq
est né à Paris le 28 avril 1947, c'est un écrivain français qui
vit en Suisse. Très productif, il peut écrire jusqu'à sept livres
par an. Généralement, il en écrit trois à quatre.
Christian Jacq se prend de passion pour
l'Égypte à 13 ans, après sa lecture des trois volumes de
«L'histoire de la civilisation de l'Égypte ancienne» de Jacques
Pirenne. Il se marie très jeune et
passe son voyage de noces en Égypte, évidemment. Il décroche un
doctorat en Égyptologie et Archéologie (à La Sorbonne). Pendant
quelques années, il est directeur de l'institut «Ramsès».
L'institut publie des transcriptions de textes égyptiens et vise
même à l'édification d'un fonds photographique sur l'Égypte.
Il écrit quarante-trois romans signés
de son nom, sur l'Égypte, de 1982 à 2011.
En 1980, il écrit des ouvrages signés
«Célestin Valois» (cinq livres),en une année! En 1986, il écrit
trois romans de jeunesse (en une année). Et ce n'est pas tout! Il a
même écrit cinquante romans policiers de 1994 à 2012; signé du
nom de «J.B Livingstone». Pour terminer, il a écrit cent cinq
livres en tout, de 1980 jusqu'à maintenant (sans compter les œuvres
de collaboration).
Source: Wikipédia et une biographie
écrite sur la deuxième de couverture d'un roman
(La Vengeance des Dieux: Chasse à
l'homme).
Je trouve que tous les livres de
Christian Jacq que j'ai lus sont excellents, à l'exception de
«Toutânkhamon, l'ultime secret» car il y a beaucoup trop de
descriptions au début. Mon préféré reste pour l'instant «La
vengeance des Dieux», le tome 1 intitulé «Chasse à l'homme», car
dans ce roman il y a beaucoup d'intrigues, de suspens et de
péripéties. Ce roman raconte les aventures du scribe Kel accusé à
tort de l'assassinat de ses collègues et de nombreux autres
personnages, ainsi que du bien le plus précieux de l'Égypte
Antique, le symbole du pouvoir: le casque de guerre du pharaon
Amasis. Ce casque est celui que l'on avait remis à Amasis (qui était
le général des mercenaires Grecs de l'ancien pharaon) lorsque qu'il
avait détrôné l'ancien pharaon Apriès.
Péroline Montreuil
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire